
Des migrant-e-s et réfugié-e-s refoulé-e-s de l'Algérie dans le désert de la région frontalière entre l'Algérie et le Niger, proche de la ville frontalière d'Assamakah.
Des migrant-e-s et réfugié-e-s refoulé-e-s de l'Algérie dans le désert de la région frontalière entre l'Algérie et le Niger, proche de la ville frontalière d'Assamakah.
"On a demandé le HCR sur notre cas à plusieurs reprises, mais aucune solution."
A 6 heures le matin du 11 Mars, les autorités marocaines on fait des ratissages à Oujda dans des maisons aux quartiers ou résident les migrant-e-s. Selon les autorités, 81 migrants et migrantes, appelé-e-s "candidats à la migration clandestine", sont arrêté-e-s au commissariat de Oujda. Il s'agit de personnes de différents pays subsahariens, parmi eux, selon les autorités, 26 femmes et 7 mineurs. Entre autres il y’a une famille anglophone - une femme et un homme avec leurs deux enfants. Il y a aussi des gens arrêté-e-s malgré qu'ils ont des cartes de séjour au Maroc.
Selon un rapport de RFI (Radio France Internationale), des réfugié-e-s soudanais-e-s, qui sont bloqué-e-s dans le désert d'Agadez dans un camp de l'HCR, sont en train de manifester contre leur situation. Selon RFI, ils/elles exigent l'accélération du traitement de leur dossier de demande d'asile.