L'Algérie, pays frontalier du nord, procède depuis des années à des déportations massives vers la localité d’Assamaka.
Faites un don pour permettre la continuité de l'activité!
L'Algérie, pays frontalier du nord, procède depuis des années à des déportations massives vers la localité d’Assamaka.
Faites un don pour permettre la continuité de l'activité!
L'initiative de cette cuisine collective est très populaire au sein des différentes communautés.
Pour la fin de l'année 2020, Alarme Phone Sahara appelle à soutenir par des dons la Cuisine Collective pour les migrants et réfugiés bloqués à Agadez / Niger. La Cuisine collective est un projet de solidarité concrète avec les personnes bloquées par les politiques d'expulsions, de refoulement et le régime répressif des frontières - une situation encore aggravée par la pandémie de Covid-19.
Faites un don pour permettre la continuité de l’activité !
Au moins 1089 personnes expulsé-e-s entre le 12 et le 14 Novembre 2020
Des personnes expulsées rapportent de violences brutales et de vols commis par les forces de sécurité algériennes.
Un autre convoi d'expulsion est arrivé à Assamaka le 8 Octobre 2020. Human Rights Watch (HRW) condamne les violations des droits des réfugié-e-s et migrant-e-s de la part de l'état algérien.
Alarme Phone Sahara condamne le traitement raciste de migrant-e-s et réfugié-e-s par les états maghrebins et leur collaboration avec le régime frontalier européen
Alarme Phone Sahara (APS) déplore une nouvelle intensification des expulsions et refoulements de l'Algérie vers le Niger au moment de la reprise de la circulation entre les pays africains.
Le 4 Juillet 2020, la 1ière Cuisine Collective pour des migrant-e-s bloqué-e-s au Niger a eu lieu au bureau d'Alarme Phone Sahara à Agadez.
Alors que les frontières entre les États africains sont fermées en raison de la crise de Corona, les expulsions et les refoulements se poursuivent et des milliers de migrant-e-s et de réfugié-e-s sont bloqué-e-s dans des pays de transit comme le Niger. Des protestations se manifestent alors que les gens se plaignent des mauvaises conditions de vie à l'intérieur des camps et de la mauvaise gestion de l'OIM.