
Entre les 9 et 13 mai 2024, 5 personnes sont mortes suite à l’expulsion d’Algérie et 3 personnes, parmi elles une petite fille âgée 3 ans, au dispensaire d’Assamaka. Alarme Phone Sahara (APS) dénonce la mort de personnes migrant.e.s provoquée par des expulsions dans des conditions violentes et inhumaines.