
Des personnes expulsées rapportent de violences brutales et de vols commis par les forces de sécurité algériennes.
Des personnes expulsées rapportent de violences brutales et de vols commis par les forces de sécurité algériennes.
Un autre convoi d'expulsion est arrivé à Assamaka le 8 Octobre 2020. Human Rights Watch (HRW) condamne les violations des droits des réfugié-e-s et migrant-e-s de la part de l'état algérien.
Alarme Phone Sahara condamne le traitement raciste de migrant-e-s et réfugié-e-s par les états maghrebins et leur collaboration avec le régime frontalier européen
Alarme Phone Sahara (APS) déplore une nouvelle intensification des expulsions et refoulements de l'Algérie vers le Niger au moment de la reprise de la circulation entre les pays africains.
Maman Na Hajau est arrivé à Assamaka, frontière Algéro-Nigérienne, avec un group de 683 personnes expulsées d'Algérie en "convoi officiel" le 27 Juillet 2020. Il était interviewé par Oumarou Hadi, lanceur d'alerte d'Alarme Phone Sahara (APS) à Assamaka.
Galius Moumouni Efouad était expulsé de l'Algérie à la frontière nigérienne proche d'Assamaka, mis en quarantaine et après emmené au centre de transit de l'OIM à Arlit.
Une campagne intensifié de la chasse aux migrant-e-s est annoncée en Algérie
©Louiza Ammi/Liberté
L'histoire de Mounchili, un migrant du Cameroun, qui a été expulsé de l'Algérie dans le désert à la frontière du Niger en janvier 2020.
Convois d’expulsion et charter « humanitaire »
Source de photo: middleeastmonitor.comSelon les informations disponibles, un nombre total de 350 personnes expulsées de l'Algérie dans le désert à la frontière du Niger sont arrivées à Assamaka le 20 septembre 2019.